Avant de définir le terme de chimio-compatibilité, il nous semble important de rappeler la constitution d’une plante.
D’où viennent les propriétés des plantes ?
Tout le pouvoir des plantes provient de ce qu’on appelle les principes actifs. Ce sont des substances contenues dans tout ou partie du végétale. L’ensemble de ces molécules est appelé le totum et c’est cet ensemble de composés chimiques qui donne les propriétés thérapeutiques à la plante.
Avec la chimie, on arrive à extraire ces composés pour en faire, par exemple des médicaments même si maintenant la pratique la plus courante est la synthèse en laboratoire.
Tous ces composés sont classés en familles, nombreuses, dans lesquelles nous retrouvons les Oses (sucres), les composés phénoliques comme les flavonoides et les tanins, les lipides, les Terpènes (famille des caroténoïdes), les alcaloïdes, les huiles essentielles, etc.
Ces molécules sont indispensables à la vie de la plante pour sa structure, pour son énergie, pour se protéger, pour communiquer ou encore pour se reproduire.
Ils sont variables d’une espèce à une autre, et fonction de la qualité de son milieu naturel (terre, soleil, apport en eau …). La récolte est aussi importante pour préserver un maximum de principes actifs.
Ces principes actifs vont donc comme leur nom l’indique agir sur l’organisme humain pour donner un effet thérapeutique.
Les compléments alimentaires contiennent ces principes actifs, qui ont été extrait (pour les extraits secs ou huiles essentielles) ou simplement par broyage des éléments végétales pour les poudres.
Le premier travaille d’Osmoz est donc de séléctionner les plantes appropriées dont les principes actifs vont pouvoir réduire les effets indésirables de la chimiothérapie.
"Chimio-compatible" ?
Quand on suit une chimiothérapie, les molécules anticancéreuses agissent sur l’organisme dans le but de détruire les cellules tumorales. Malheureusement le traitement n’est jamais précis à 100% et des cellules saines sont également touchées, notamment celles à renouvellement rapides comme les cellules de la peau, des ongles et des cheveux. C’est d’ailleurs à cause de ce phénomène que les cheveux tombent.
C’est un traitement lourd et le dosage doit être précis, afin d’être efficace tout en évitant au maximum de toucher les cellules saines.
C’est pour cela qu’il faut éviter toute substance qui viendrait interférer avec la chimiothérapie.
Chaque substance active qui rentre dans notre organisme va utiliser des protéines pour se déplacer, effectuer son action et/ou se dégrader.
Le risque est donc que les principes actifs de la plante viennent « prendre la place » des molécules anticancéreuses et/ou modifie leur efficacité en se plaçant sur leurs récepteurs. Or, priorité à la chimio !
Comment ne pas interférer avec la chimiothérapie ?
Osmoz qualifie donc de compatible une plante ou ingrédient qui ne croise pas la route métabolique des molécules anticancéreuses. Pour cela de nombreuses études bibliographiques sont effectuées afin de connaitre le chemin de ces substances dans l’organisme et de s’assurer qu'aucuns ne prennent la place de l'autre ! Ces études sont longues et complexes car selon la concentration de l’ingrédient, sa forme, les conditions (in vitro ou in vivo) les résultats ne sont pas les mêmes.
Mais ce n’est pas tout !
Osmoz exclue les plantes ou ingrédients présentant des effets indésirables potentiels trop contraignants par rapport à la situation déjà compliquée des personnes sous traitement. Par exemple, pas de plantes à base de caféine, car trop dosée cette substance provoque des agitations, de l’anxiété et des palpitations. Plutôt que de contrôler le nombre de tasse de cafés bues quotidiennement par le patient, nous pensons qu’il est préférable qu’il conserve au maximum ses habitudes de vie, et de choisir d'autres alternatives !
Les plantes pouvant avoir un effet toxique sur le foie sont également éliminées, car cet organe est déjà très sollicité par l’élimination des molécules anticancéreuses.
En résumé la recherche de compatibilité chimio c’est :
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S’assurer des propriétés thérapeutique de la plante.
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Étudier qu’elle ne rentre pas en compétition avec les molécules de chimio.
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Établir le bon dosage (éviter trop d'antioxydants !)
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Sélectionner des plantes dont les effets indésirables potentiels ne s’ajoutent pas à celles du traitement ou de la situation.
C'est grâce à cette démarche scientifique qu'Osmoz est en mesure de vous proposer une gamme de produits garantie sans interactions et donc « chimio-compatibles » !